Mon traitre – Sorj Chalandon

C’est par ces mots que l’on ouvre.

Je me tiens sur le seuil d’un autre monde tremblant que le seigneur ait pitié de moi. Bobby Sands

Antoine ou Tony sa famille habite les Vosges lui il est luthier. Il travaille à Paris, c’est un ouvrier des violons, ou plutôt un patron qui écoute les violons, sa vie c’est ce petit monde, un monde petit comme un violon. Par une rencontre il veut découvre Belfast cette terre d’artistes, des musiciens et de violonistes. Le premier voyage est fait dans une quête touristique. Il boit des bières et rencontre Jim et sa femme avec qui il sympathise, ce petit luthier français qui joue du violon en fermant les yeux. Il se trouve en cet endroit poussé, dans une soif de comprendre ces gens. Au fil de ses voyages il va être au contact d’un personnage important de l’IRA qui deviendra son amis intime celui qui lui fera découvrir le visage de l’Irlande.

Chapitre James Connolly, syndicaliste née à Edimbourg mort en prison à Dublin

Le mot traitre est utilisé dans les premières pages du livre. Au fil de la lecture ce mot finit par disparaitre et on ne retient que celui de Tyron. Ce personnage pour lequel Tony se lit et à qui il porte un profond respect.

Le luthier commence à comprendre cette lutte. La lutte pour la fin de l’occupation.

Viennent ensuite les arrestations les choses complexes de la guerre.

Les aller retours à Belfast, cette obsession de Belfast l’envie d’y vivre.

La suite du livre joue sur l’ambiguïté de cet homme qui a trahi.

Booby Sands est un ledear de l’IRA arrété par les britanniques sous l’époque de Margaret tacher enfermé dans la prison de Maze. Il fera une grève de la fin pour protester contre les injustes subits par les irlandais à la suite d’autres détenues décident de faire une grève de la fin à leur tour. Au total une dizaine de personne mourront.

Citations

J’ai décidée que la Guiness serait mon eau de vie


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