L’art de la guerre – Sun Tzu

L’art de la guerre-Sun Tzu-

Ce livre culte, car connus de tous, enfin de ces gens qui sont intéressés par les rapports de force et le pouvoir. Déjà un moment qu’il est dans ma liste de lecture.
Alors commençons, c’est en le lisant la bhâgavata gita que je me suis dit, tiens il serait intéressant de placer ces deux livres en regard et regarder comment il se renvoi l’un à l’autre.

Voici comment les choses sont faites :
Sur les chapitres 1 à 6 on est dans un comment voir les situations. Quels sont les principes. Qu’est que la guerre, quel en est le but et comment obtenir ce résultat.

-1 Estimations
Forcément ce chapitre me parle, mais on ne parle pas d’estimaltion à proprement parler. On y évoque plutôt des paramètres et la manière de les regarder.
Pareillement la fin du chapitre donne des principes et des règles qui sont à appliquer. La dernière phrase concerne l’importance de faire des calculs et de quel avantage dispose celui qui se donne à la pratique des calculs.

-2 La conduite de la guerre
Cette dernière partie dans la conduite de la guerre qui amène à regarder la finalité : Ce qui est essentiel dans la guerre c’est donc la victoire et non les opérations prolongées C’est ainsi pourquoi le général qui comprend est le ministre du destin du peuple et l’arbitre de la destinée de la nation.
-3 La stratégie offensive
Ceux qui sont experts dans l’art de guerre soumettent une armée sans combat. Cette phrase à elle seule montre la finalité et de réduire les risques par l’application d’une stratégie.
-4 Dispositions
Pour commencer cette première proposition.
Dans les temps ancien les guerriers habiles commençaient par se rendre invincibles, puis ils attendaient que l’ennemi fût vulnérable. Et cette phrase qui vient placer le contexte. L’invicibilité réside dans la défense, les chances de victoires dans l’attaque. Et pour conclure ce chapitre.
C’est grâce à l’art de disposer ses troupes qu’un général victorieux est en mesure de les faire combattre avec l’effet des eaux contenues qui soudain libérées, se précipitent dans un gouffre sans fond.
-5 Energie
Ce chapitre est en soi complexe dans le sens où il commence par faire mention de du rapport entre des 5 notes de musique qui peuvent composer une inifité de variations, mais la force elle est normale ou extraordinaire et entre les deux milles variations que l’esprit ne peut saisir, nul esprit humain ne peut les saisir toutes.
Un chef qualifié demande la victoire à la situation et non à ses subordonnées.
-6 Points faibles et points forts
La vitesse à se déplacer, dans l’attaque et dans le repli,
Lorsque je souhaite éviter le combat, il se peut que je me défende simplement en traçant une ligne sur le sol : L’ennemi ne pourra pas m’attaquer parce que je le détourne de la direction qu’il désire suivre.
Cette phrase en elle seule vaut mille mots. En traçant une ligne je montre, je suis celui qui produit ce qui est à regarder et je fabrique le réel de mon adversaire, il ne peut m’attaquer ou me détruire car je ne suis nullement ce trait au sol.
Agitez-le et découvrez le schéma général de ses mouvements.
Eprouver le et rendez-vous compte des points sur lesquels il est en force et ceux où il est déficient

-7 Manœuvre
Ce chapitre ouvre la partie action et cela commence ainsi, une fois que l’esprit est clair l’action peut commencer, et cela commence par deux points.
Le premier, l’alignement qui précède l’action :
Normalement, lorsqu’il est fait usage de la force armée, le général reçoit d’abord les ordres du Souverain. Il rassemble les troupes et mobilise la population. Il fait de l’armée un tout homogène et harmonieux et l’installe dans son camp.
Et le second la mise en garde et la définition de comment agir :
Rien n’est plus difficile que l’art de la manœuvre. La difficulté en cette matière consiste à faire d’une voie tortueuse la route la plus directe et à changer la malchance en avantage.
Ne barrez pas la route à un ennemi qui regagne ses foyers.
-8 Les neuf variables
A nouveau on rappelle l’alignement
D’une manière générale, lorsqu’il est fait usage de la force armée, la pratique veut que le commandant en chef recouvre son mandat du Souverain pour mobiliser la population et rassemble l’armée.
La suite est claire :
Il ne faut pas dresser le camp sur un terrain en contrebas.
Sur un terrain propice aux communications unissez-vous à vos alliés.
Sur un terrain dénudé, ne vous attardez pas.
Sur un terrain clos, l’ingéniosité est requise.
Sur un terrain mortel, battez vous
Il est des routes à ne pas prendre, des troupes à ne pas frapper, des villes à ne pas assaillir et des terrains à ne pas disputer.
Puis vient les qualités de l’homme d’action, formulé par la négation.
S’il est téméraire il peut être tué. (L’attitude à être entrainé dans l’action)
S’il est lâche il sera capturé. (Le non agir et l’action, conserver la vie)
S’il est emporté on peut le berner. (Les sentiments et l’affect)
S’il possède un sens de l’honneur trop chatouilleux on peut le calomnier. (L’égo, son importance)
S’il a une âme compatissante on peut le tourmenter. (L’empathie et l’importance des choses, le sens)
-9 Marches
Un envol d’oiseaux indique que l’ennemi se tient en embuscade.
Lorsque les envoyés de l’ennemi tiennent des discours plein d’humilité mais qu’il continu ses préparatifs, il va avancer.
Lorsque les hommes s’appuient sur leurs armes, les troupes sont affamées.
Lorsque la moitié des effectives avance et l’autre recule, il vous attire dans un piège.
Le chapitre se termine avec cette phrase :
Si les ordres sont en toutes circonstances justifiés et exécutés, les rapports entre le commandant en chef et ses troupes sont satisfaisants.
-10 Le terrain
Si un général se montre trop indulgent envers ses hommes mais est incapable de les employer, s’il les aime mais ne peut pas faire exécuter ses ordres, si les troupes sont désordonnées et si il ne sait pas les prendre en main, elles peuvent être comparées à des enfants gâtées et elles sont inutiles.
-11 Les neuf sortes de terrain
Les neufs sortes de terrains exposent les configurations et les attitudes.
Terrain de dispersion, son propre terrain
Terrain de frontière, celui qui peut être chez l’ennemi.
Un terrain clef (lieu d’enjeu)
Un terrain de communication (terrain accessible aux deux parties)
Lorsque l’on est bloqué entre trois autres parties on est sur un terrain de convergence.
Le terrain de sérieux, lorsque l’on est entré profondément en lignes ennemie.
Le terrain difficile lorsque des montagnes sont franchis.
Puis suivent les recommandations.
-12 Attaque par le feu
Cet avant dernier chapitre énonce les mentions à prendre en compte en particulier le contexte.
Le dernier chapitre éclaire sur le stratégie et sur une vision à long term celle lié à l’usage de agents secrets.
-13 L’utilisation des agents secrets
Voila je n’en donne pas plus.
A lire et à reprendre car la pronfondeur de l’ouvrage donne un bon regard en tous cas il permet de placer un bon filtre.

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