La peste – Albert Camus

Quel livre, c’est sur que l’on ne recoit pas le prix Nobel de littérature en écrivant des nouvelles pour son chien. Ce livre est les personnages qui y sont présent est un précieux cadeaux fait aux lecteurs.

Les éléments comme la place de dieux et des hommes d’église, la peine capitale, la compassion, le sens du dévouement, l’abnégation sont présent partout dans le roman. Une chose que je n’ai pas trouvé dans le livre est l’injustice ou si peu. La maladie frappe tout le monde sans distinction de quelles natures quelle soit, mais il ne réside pas à proprement parler d’injustice entre les personnages du roman.

Comme lors de la pandémie qui s’est déroulée en France, le sentiment d’injustice est gommé par cette chose, cette réalité commune, celle qui nous unit contre la pandémie. L’ambiguité qui existe en début de roman sur la personne qui porte le récit et qui est dévoilée en fin de roman est quelque peu déroutante, cette vérité offerte en fin d’ouvrage devient presque un étonnement car on oublie presque que cette intrigue est en cours. Le rôle des femmes dans le livre est lui aussi particulier, comme si était relégué au dernier plan. Les femmes sont les accompagnantes elles n’occupent pas de place majeure. Elle n’existe qu’à travers les personnages masculins qui les font vivre.

Le récit qui découpe les différentes phases de la pandémie et qui place les personnages dans les situations ou ils se révellent, dans le sens leur comportement illustre leur pensée et leurs émotions, sont des chose que Camus arrive à faire passer. Le lecteur arrive à comprendre et c’est satisafaisant, le tableau et sous nos yeux et nous arrivons à comprendre la scène et à voir les détails qui offrent une seconde lecture plus poussée, plus précise. Cela est fait simplement et tout semble naturel.

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